Eau & assainissement

Du Mozambique au Sud au Maroc au Nord, 20 millions de personnes dans les zones rurales et urbaines d'Afrique ont eu accès pour la première fois à l'eau potable grâce aux projets de la Banque africaine de développement (BAD), selon un rapport d'évaluation publié par l’évaluation indépendante du développement (IDEV) de la Banque. Cet accès est particulièrement important en cette période de pandémie de la COVID-19, car la propagation du virus est étroitement liée à l'eau et à l'assainissement.

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La Facilité africaine de l’eau (FAE) est un Fonds spécial multilatéral qui offre des subventions et une assistance technique pour permettre aux gouvernements, aux organisations non gouvernementales et aux partenariats public-privé de répondre au besoin croissant d'investissements pour le développement et la gestion des ressources en eau en Afrique.

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Cette publication résume les innovations, les bonnes pratiques et les leçons tirées des récentes évaluations des opérations de la Banque africaine de développement (ou la Banque) dans le secteur de l’approvisionnement en eau et de l’assainissement. S'appuyant sur les évaluations des opérations de la Banque, des gouvernements et d'autres partenaires de développement, cette publication met en évidence les bonnes pratiques et innovations émergentes et reflète les principaux enseignements tirés des cas de réussite et d'échec.

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L’Évaluation indépendante du développement (IDEV) de la Banque africaine de développement (ou la Banque) a mené une évaluation de 16 projets d'approvisionnement en eau potable et d'assainissement en milieu rural (AEPAR) qui ont été approuvés et mis en œuvre par la Banque dans 13 pays membres régionaux au cours de la période 2000-2017

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L’Évaluation indépendante du développement (IDEV) de la Banque africaine de développement (BAD ou « la Banque ») a mené une évaluation de 15 projets d'approvisionnement en eau potable et d'assainissement en milieu urbain (AEPAU), qui ont été approuvés et mis en œuvre par la Banque dans 12 pays membres régionaux au cours de la période 2001-2016. 

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Cette revue documente des rapports d’évaluation de dix-huit projets d’AEPA financés par la BAD et réalisés entre 2010 et 2012, ainsi que des résultats des évaluations menées par d’autres partenaires au développement impliqués dans le secteur de l’AEPA en Afrique est enrichie des échanges qui ont eu lieu à l’occasion d’un atelier régional organisé par la BAD au Maroc en novembre 2013 pour un échange d’expériences de l’évaluation des projets et programmes d’AEPA.
 

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En 2016, l'Évaluation indépendante du développement de la Banque africaine de développement a commencé une évaluation rigoureuse de l'assistance de la Banque au secteur de l'eau en Afrique. L’évaluation a ciblé les interventions de la Banque dans l'approvisionnement en eau potable et l'assainissement (AEPA), dans les contextes rural et urbain, et la gestion de l'eau agricole (GEA) de 2005 à 2016, en se concentrant sur l'assistance fournie par la Banque sous forme d'infrastructures, de connaissances et de travaux analytiques.

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En 2006, la Banque africaine de développement (BAD) a approuvé un financement de 84 millions de dollars pour la Phase I du Programme d'approvisionnement en eau et d'assainissement en RDC en République-Unie de Tanzanie. La Phase II du financement de la BAD, qui a contribué à hauteur de USD 65 millions, a été de 2011 à 2015. Le RWSSP est une contribution à la composante 2 (Approvisionnement en eau et assainissement en milieu rural) du Programme national de développement du secteur de l'eau (WSDP), 2006-2025.

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L’étude porte sur toutes les activités de prêt et les activités autres que les prêts de la Banque dans le secteur de l’eau au Ghana, de 1974 à 2004. La méthodologie a consisté à analyser les documents disponibles à la Banque et les informations et données recueillies lors de la mission sur le terrain effectuée au Ghana dans le but d’évaluer non seulement les politiques et les stratégies du gouvernement et de la Banque qui ont évolué au fil des ans, mais aussi les actions menées au cours de la période considérée. S’agissant des activités de prêt, l’étude a évalué les interventions sur la base des critères d’évaluation que sont la pertinence, l’efficacité, l’efficience, la soutenabilité à long terme et l’impact sur le développement institutionnel. Elle a en outre évalué la performance de l’emprunteur et de la Banque dans le secteur. L’étude a, par ailleurs, dégagé des enseignements des résultats obtenus dans le cadre de ces interventions et formulé des recommandations pour guider les stratégies à venir. Deux types d’hypothèse, à savoir une situation avec assistance de la Banque et une situation sans cette assistance ont présidé à l’examen des interventions.

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Il est communément admis que les évaluations d'impact sont utiles pour mieux comprendre ce qui marche (et ce qui ne marche pas) dans les interventions de développement de la Banque africaine de développement (BAD). Elles peuvent permettre à la Banque de démontrer plus facilement les résultats de ses activités de développement, c'est-à-dire les améliorations concrètes de ces activités dans la vie des personnes, des familles et des communautés.

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