Economie & gouvernance financière

L'intégration régionale est généralement définie comme un processus par lequel les pays cèdent une partie de leur souveraineté nationale sur certains aspects spécifiques, de  la sphère économique, politique, monétaire ou sociale. Elle implique généralement la mise en place d'institutions supranationales et la ratification de traités fixant les règles, les objectifs et les échéanciers d'intégration.

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Le présent rapport évalue l’assistance du Groupe de la Banque au Mali en se focalisant sur la période 1994-2004. Sa préparation s’est effectuée dans des conditions très difficiles. Initié en 2002, le processus a été interrompu après deux missions sur le terrain en octobre puis décembre 2002, pour cause de mauvaise performance de l’équipe de consultants et de relocalisation de la Banque. Ces travaux avaient abouti à la production de notes thématiques et sectorielles diverses. Le dossier a été repris et confié en 2004 à une autre équipe qui a été chargée de compléter, d’actualiser et de valider les informations et analyses afin d’élaborer le rapport global d’évaluation. Par la suite, ce rapport a été restructuré et complété avec l’élaboration de nouvelles directives sur les évaluations d’assistance-pays entreprise parallèlement fin 2004. Le calendrier de finalisation de ce rapport a pris en compte son objectif de tirer des leçons et recommandations utiles pour le prochain cycle de Document de stratégie-pays (DSP).

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Le présent rapport a été rédigé à la suite d’une mission d’évaluation de performance des PASFI et du PDEI effectuée au Maroc du 11 au 28 avril 2005. Il s’appuie sur les rapports d’évaluation et d’achèvement de ces programmes, ainsi que sur (i) les informations disponibles au siège de la Banque ; (ii) les informations et la documentation collectées au cours de la mission ; et (iii) les discussions et entretiens avec les autorités marocaines, les représentations résidentes de la Banque mondiale, du PNUD et de l’Union européenne au Maroc.

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La revue donne les détails des activités de prêt et hors prêt anciennes et récentes de la Banque dans le secteur de l’éducation et évalue les stratégies utilisées au fil des années en vue de tirer des enseignements de l’expérience et faire des recommandations pour les futures interventions. L’évaluation est basée sur une revue des documents disponibles, tels que les rapports d’évaluation, les rapports d’achèvement de projets, les rapports de revue de portefeuille-pays, les Documents de stratégie par pays, les rapports des missions de supervision et les revues annuelles de portefeuille des interventions en cours et achevés dans le secteur de l’éducation. La revue tient compte de l’évolution des politiques et stratégies de la Banque par rapport à l’évolution des priorités dans le programme de développement, telles que les questions transversales- gouvernance, genre, pauvreté, environnement, VIH/SIDA, participation des collectivités et intégration régionale. Elle tient aussi compte de l’impact des documents de politique introduits à différentes périodes, et de l’évolution des directives et procédures opérationnelles adoptées au fil des années dans la gestion du portefeuille de la Banque.

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La Banque de commerce et de développement pour l’Afrique de l’Est et l’Afrique australe, connue sous le nom de Banque de la ZEP, a été créée en 1985 pour faciliter le développement solidaire des Etats membres de la Zone d’échanges préférentiels, qui a été ultérieurement transformée en Marché commun des Etats de l’Afrique de l’Est et de l’Afrique australe (COMESA). Les actionnaires de la Banque de la ZEP sont 17 Etats africains, un Etat souverain non régional et un actionnaire institutionnel.1 La Banque de la ZEP est la plus grande organisation sous-régionale en Afrique, couvrant pratiquement tous les pays de l’Afrique de l’Est et de l’Afrique australe. Son objectif est de fournir au secteur privé de la sous-région des ressources pour le financement de leurs projets et de leurs opérations commerciales.

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La Banque de commerce et de développement pour l’Afrique de l’Est et l’Afrique australe, connue sous le nom de Banque de la ZEP, a été créée en 1985 pour faciliter le développement solidaire des Etats membres de la Zone d’échanges préférentiels, qui a été ultérieurement transformée en Marché commun des Etats de l’Afrique de l’Est et de l’Afrique australe (COMESA). Les actionnaires de la Banque de la ZEP sont 17 Etats africains, un Etat souverain non régional et un actionnaire institutionnel.1 La Banque de la ZEP est la plus grande organisation sous-régionale en Afrique, couvrant pratiquement tous les pays de l’Afrique de l’Est et de l’Afrique australe. Son objectif est de fournir au secteur privé de la sous-région des ressources pour le financement de leurs projets et de leurs opérations commerciales.

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La Tunisie est passée du stade d'un pays dépendant essentiellement d’exportations de produits primaires (hydrocarbures, phosphate, produits agricoles), au début des années 80, à celui d’un pays tirant ses ressources d’exportations de produits manufacturés et de services. Pour ce faire, elle s'est, d’abord, appuyée sur les exportations de produits textiles, d'équipements électriques et mécaniques, d'industrie alimentaire, du tourisme (et activités liées) et de produits agricoles (olives, céréales et vins).

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L'Évaluation indépendante du développement (IDEV) à publié son rapport annuel pour 2015, en prélude des Assemblées annuelles de la Banque africaine de développement (BAD qui se tiendra du 23-27 mai à Lusaka (Zambie).

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La présente évaluation conjointe de l’assistance pays (EAP), préparée par le Groupe d’évaluation indépendant (IEG) de la Banque mondiale (BM) et le Département de l’évaluation des opérations (OPEV) de la Banque africaine de développement (BAD), examine l’aide fournie à l’Ouganda par la BM et la BAD durant les années financières de 2001-2007. Étant donné que les deux banques ont fourni l’aide séparément, le rapport examine dans quelle mesure : (a) les objectifs de l’aide des deux banques sont “pertinents” au regard du contexte du pays et du mandat de chacune des banques ; (b) la conception des programmes d’aide des banques est appropriée, efficace, et cohérente au regard des objectifs visés ; et (c) le programme et les interventions de chaque banque ont atteint leurs objectifs et ont contribué (ou sont susceptibles de contribuer) aux résultats prévus.

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