Agriculture et agro-industrie

L'Évaluation indépendante du développement (IDEV) à publié son rapport annuel pour 2015, Titré « Renforcer l’impact’ » ce document de 88 pages contient une aperçu complète des évaluations réalisées et les activités liées à la gestion des connaissances, à la sensibilisation et le renforcement des capacités entreprise par IDEV en 2015 pour promouvoir la redevabilité, l'apprentissage et une culture d'évaluation dans la BAD et dans ses pays membres régionaux (PMR).

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L’étude couvre essentiellement l’ensemble du portefeuille du secteur ADR approuvé entre 1996 et 2004. Des opérations initiées avant 1996, ont été exécutées et terminées sur la
période sous étude. Leurs performances sont également exploitées en raison de leur lien avec des projets de la période.
 
Les résultats de l'assistance sont évalués conformément aux directives du Département d’Evaluation des Opérations de la Banque (OPEV), en matière d’évaluation de l’assistance de la Banque, d’élaboration de la note de l’évaluation des RAP et REPP, et sur la base de l'action conjuguée de quatre facteurs: (a) la Banque; (b) le Cameroun (Emprunteur); (c) les partenaires et les parties prenantes; et (d) les forces exogènes (phénomènes naturels,crises économiques, etc.).
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La revue couvre les opérations de prêt et hors prêt dans le secteur depuis 19931. Le contexte stratégique dans lequel ces projets ont été exécutés est décrit, dans un premier temps. Les critères d’évaluation standard du Groupe de la Banque sont ensuite appliqués séparément aux activités de prêt et hors prêt afin d’évaluer les réalisations (pertinence, efficacité et efficience), le développement institutionnel et la durabilité (voir Annexe A4). Autant que le permettent les preuves disponibles, la revue s’efforce de montrer la contribution du Groupe de la Banque et celle du GoE aux réalisations des projets. Enfin, la revue tire des leçons de l’expérience et formule des recommandations en vue d’améliorer l’efficacité en termes de développement des interventions de la BAD dans le secteur agricole éthiopien.

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Ce rapport présente les résultats d’une évaluation importante d’appui à l’agriculture et au développement rural apporté en Afrique par deux institutions : la Banque Africaine de Développement (BAD) et le Fonds International de Développement Agricole (FIDA). Cette évaluation visait à analyser les activités de ces institutions sur un continent qui est le théâtre d’importants changements. Elle était témoin de l’Afrique de leur pertinence par rapport aux besoins africains en matière d’agriculture et de développement rural, ainsi que leurs performances, notamment celles du partenariat sectoriel BAD/FIDA. L’objectif principal de l’évaluation était de tirer des enseignements utiles et de formuler des recommandations judicieuses susceptibles d’aider les deux partenaires à progresser et à définir comment améliorer l’impact de leurs interventions en collaborant plus étroitement.

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Les hypothèses et les risques identifiés lors de l'évaluation ont montré que l'adoption de méthodes de lutte intégrée par les agriculteurs, le manque d'intégration des initiatives au niveau régional et la fréquence des déficits pluviométriques ont été des facteurs limitants la réussite du projet. Cependant, le mécanisme institutionnel mis en place par le projet, la méthodologie de gestion basée sur l'approche participative et décentralisée à travers les unités de mise en œuvre et brigades villageoises, la collaboration entre la recherche, la vulgarisation et la protection des végétaux des institutions dans les quatre pays bénéficiaires, ainsi que la distribution de villages à travers une large gamme de isohyètes de précipitations sont susceptibles d'atténuer ce risque. La matrice du cadre logique rétrospective à l'annexe 6 montre les risques spécifiques concernant la mise en œuvre du projet et la durabilité.

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La présente évaluation indépendante a été entreprise par le Département de l’évaluation des opérations (OPEV) afin d’examiner l’efficacité de l’appui de la Banque africaine de développement en faveur de l’hydraulique agricole au Ghana et au Mali entre 1990 et 2010. 

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This abbreviated Project Performance Evaluation Report (PPER) concerns the evaluation of the El-Beheira rural development project in Egypt. The project, whose total cost was estimated at UA 32.3 million, was identified and prepared by the FAO Investment Centre (FAO/IC) for ADB. Appraised by Bank experts in 1981, the project was financed with ADB and ADF funds to the tune of UA 10 million and UA 8 million respectively.

 

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